Pas que la standardiste soit forcément plus sexy que la DG mais, son vagin semble plus accessible dans l'esprit des mâles.
En somme voici l'équation qui leur vient naturellement :
standardiste = pas d'études supérieures = cherchent à coucher avec un n'importe quel homme pourvu que sa situation sociale soit supérieure à la sienne
A moins que le fait qu'une des tâches de la standardiste qui est en effet d'accueillir avec le sourire, amène les hommes à penser que, par conscience professionnelle, la standardiste se doit d'accueillir les hommes comme ils le veulent. Et ce, jusque qu'à l'entrée de son vagin, avec le sourire.
Jamais mon taux de baisabilité n'avait été effectivement aussi élevé, lors de mon expérience en tant que standardiste, dans une entreprise d'informatique, beauf au possible.
Et même lorsque j'avais voulu le faire tomber de force, en me rendant le moins possible attractive (de toute façon, pour arriver à l'heure, mes converses sont nécessaires), c'est carrément mon patron qui m'était tombé de dessus. Tenant à garder intact sa réputation d'employeur de femmes-à-vernis-à-ongles-rouges.
Au lendemain de la fête de l'huma, la lutte des classes, je veux bien en parler. Si on consent à mettre une touche de Freud chez Marx, dans l'état actuel des choses. En somme voici l'équation qui leur vient naturellement :
standardiste = pas d'études supérieures = cherchent à coucher avec un n'importe quel homme pourvu que sa situation sociale soit supérieure à la sienne
A moins que le fait qu'une des tâches de la standardiste qui est en effet d'accueillir avec le sourire, amène les hommes à penser que, par conscience professionnelle, la standardiste se doit d'accueillir les hommes comme ils le veulent. Et ce, jusque qu'à l'entrée de son vagin, avec le sourire.
Jamais mon taux de baisabilité n'avait été effectivement aussi élevé, lors de mon expérience en tant que standardiste, dans une entreprise d'informatique, beauf au possible.
Et même lorsque j'avais voulu le faire tomber de force, en me rendant le moins possible attractive (de toute façon, pour arriver à l'heure, mes converses sont nécessaires), c'est carrément mon patron qui m'était tombé de dessus. Tenant à garder intact sa réputation d'employeur de femmes-à-vernis-à-ongles-rouges.
Les classes sup' qui pensent pouvoir forniquer, sans ramer en amont, tout individu issu des classes populaires, c'est une constatation. Consternante.
2 commentaires:
IL existe le même syndrôme chez certains, avec la stagiaire. En stage depuis 4 mois, c'est fou le nombre de fois ou les hommes viennenr m'empreinter une agrafeuse, ou des post it, alors que je ne suis pas dans le bureau le plus proche du leur!! Pff.., mais le pire dans tout cela, c'est qu'ils sont vieux et moches!!
-> oh oui,la stagiaire a l'air tout aussi facilement baisable que c'est une chair fraîche !
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